pühapäev, juuni 11, 2006

Le Mont Rouge

Dans l’auto d’un ami, Apure traverse la campagne, champs tranquilles et collines, sur un chemin quelque peu cahotique. "C’est étonnant, dit-il, tous ces gens qui rentrent chez eux avec armes et bagages, et passent à pied par les champs." L’ami conduit très bien : un vrai pilote de rallye. L’auto cependant finit par se coincer sur une énorme racine. Apure et deux autres amis descendent pour essayer de dégager la roue. La femme de l’ami apprécie leurs efforts. Personne cependant ne remontera dans l’auto que l’ami. Les autres, Apure y compris, doivent traverser un pont étroit, sans rambarde, qui passe par dessus le fleuve bleu-vert.
Dans une autre partie du rêve, Apure est dans la maison de son grand-père (à moins, bien sûr, qu’elle ne se soit trouvée de l’autre côté du pont.) On entend des enfants jouer dans le jardin. Apparaît le neveu d’Apure, qui s’est déguisé en fille, et porte de longues boucles d’oreilles. Le ciel s’assombrit, montre même une pluie d’étoiles en plein jour ; un orage violent se prépare. Apure fait ses bagages pour rentrer par la banlieue. Avant de reprendre le métro, il longe les "falaises du Mont Rouge", qui donnent, paraît-il, aux riverains des idées de suicide.
Apure se réveille à quatre heures du matin, ce qui n’est pas coutumier ; pour passer le temps, il regarde Trois... extrêmes, qui lui donne en tout début de matinée un rêve incohérent où des assassins ne cessent de surgir dans des appartements de luxe.

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